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Biblissima authority file: https://data.biblissima.fr/entity/Q54545
Data Source: BnF Archives et manuscrits
ff. 1r-6r : Heliodore de Larissa-Damian, Optique (fragments), éd. R. Schöne, Damianos Schrift über Optik, Berlin, Reichsdruckerei, 1897. Ἡλιοδώρου Λαρισσαίου κεφάλαια τῶν ὀπτικῶν. Inc. αʹ. Ὅτι προβολῆς τινος ἀφ’ ἡμῶν… Expl. πρὸς ἴσας κλᾶσθαι γωνίας. F.6v vacat.
ff. 7r-12r : traduction latine du texte précédent, ed.princ. Heliodorus Larissaeus, capita Opticorum, gr. et lat. Florentiae, ex off. Juntiana, 1573, in =-4°. Rééd. E. Danti, Prospettiva di Euclide…, Florence, 1573. Titre : Heliodori Larissaei, Capita Opticorum. Inc. Quadam a nobis proiectione ea…, Expl. …aequales angulos frangi demonstratum est.ff. 12v-16v : vacat
ff. 17r-18v : Guarino Veronese, Regulae Grammaticales (frg.), éd. Venise 1471 f.24v sqq (voir exemplaire de Munich BSB-Ink G-418 = Gesammtkatalog der Wiegendrucke GW 11 617). Inc. sciendum est quod novissimus… Expl. A verbo communi quatuor descendunt…
Data Source: Pinakes
Ce manuscrit semble constituer une copie personnelle effectuée à partir de l’editio princeps donnée en 1573 par la maison d’édition Junta à Florence (cf. éd. ci-dessous). La même année paraissaient le texte grec et sa traduction latine augmentés d’une traduction italienne par Egnazio Danti, à la suite de l’optique d’Euclide (La Prospettiva di Euclide nella quale si tratta di quelle cose, che per raggi dirittí si veggono, e di quelle che con raggi reflessi nelli specchi appariscono, tradotta dal R. P. M. Egnatio Danti,... con alcune sue annotationi... Insieme con la prospettiva di Eliodoro Larisseo, cavata della libreria vaticana e tradotta dal medesimo... ) On remarque, notamment dans le texte grec, un certain nombre de corrections qui ne correspondent pas à l’édition de 1573, et qui sont d’une autre main. Le texte a clairement été remanié.Le bifolium de parchemin ajouté à la fin du codex n’a aucun lien avec ce qui précède. On serait tenté d’y voir du parchemin de remploi qui aurait servi à lier les deux cahiers mathématiques. Ils portent néanmoins tous les deux trace d’une cote.L’ensemble de ce codex fut en possession d’Etienne Baluze, bibliothécaire de Colbert. Sa bibliothèque personnelle fut vendue après sa mort à la bibliothèque du roi en 1719, soit après la rédaction du grand catalogue de Nicolas Clément en 1682. Ces volumes nouvellement entrés reçoivent une cote, non pas à la suite du dernier numéro attribué par Clément, mais issu d’une tranche de cotes non-attribuées dans un premier temps. Le catalogue manuscrit de Nicolas Clément (Paris. lat. 9355 et 9356) ne comporte pas de manuscrits 3403 à 3420, et celui-ci devient donc le regius 3403. Le premier folio de parchemin porte l’indication 3405, mais il ne s’agit pas de la même main. La proximité avec le nombre précédent est peut-être une coïncidence. Il est également possible que ces deux textes soient entrés en même temps à la bibliothèque royale, dans le lot des acquisitions de Baluze, mais en tant que deux volumes séparés, et qu’ils n’aient été reliés ensemble que sous Louis-Philippe. Cela semble indiqué aussi par l’absence d’estampilles sur la partie en parchemin, qui n’a donc pas dû, à son entrée dans la collection, être considérée comme un texte à part entière, mais constituait sans doute l'enveloppe de protection de la petite liasse contenant le texte grec et sa traduction.
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