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Biblissima authority file: https://data.biblissima.fr/entity/Q54501
IIIF manifest
Digitisation:
Data Source: BnF Archives et manuscrits
ff. 1r-168v : Héron d’Alexandrie, divers traités. ff. 1-50 : Pneumatica, W. Schmidt, Heronis Alexandrini opera quae supersunt omnia, vol. 1, Leipzig Teubner, 1899.ff. 1-38v : Livre I, Ἥρωνος ἀλεξανδρέως πνευματικῶν πρῶτον, incip. Τῆς πνευματικῆς πραγματείας, expl. ἡ ἐπιστροφὴ γίνηται. Manquent les chapitres 2, 7-24 et 27. f. 39 : vacat. ff. 40r-60v : Livre II, Ἥρωνος ἀλεξανδρέως πνευματικῶν β, inc. Ἀγγείου κατασκευὴ... expl. ἐκκρεμάσομεν τὸ βάρος / τέλος. Manquent les chapitres 3, 22-23 et 34-37. ff. 61r-77r : Belopoica, éd. H. Diels and E. Schramm,” Herons Belopoiika” , Abhandlungen der preussischen Akademie der Wissenschaften, Philosoph.-hist. Kl. 2. Berlin, Reimer, 1918, pp. 5-55. Ἥρωνος Ἀλεξανδρέως βελοποιητικά, inc. τῆς ἐν φιλοσιφία διατριβῆς, expl. f. 76v ἀναλόγον εἰσὶν αἱ ΑΤ ΓΗ / τέλος τῶν βελοποιητικῶν τοῦ Ἥρωνος + dessin f. 77 r. ff. 79r-118v : Dioptra, éd. H. Schöne, Heronis Alexandrini opera quae supersunt omnia, vol. 3, Leipzig Teubner, 1903 pp. 188-314. Ἥρωνος Ἀλεξανδρέως περὶ διόπτρας, incip. Τῆς διοπτρικῆς πραγματείας πολλάς... expl. ἕκαστον κινηματῆς κινήσεως / τέλος. (+ un diagramme à la fin, avec une note latine : Hoc schema in extremo textus dioptrae erat ita positum). ff. 119-120 : vacat. ff. 121r-140v : Extraits des Pneumatica, éd. W. Schmidt, Heronis Alexandrini opera quae supersunt omnia, vol. 1, Leipzig Teubner, 1899, pp. 2-332. On trouve dans l’ordre Livre I chap. 6, 7, 10, 9, 8, 11-24 (le dernier est incomplet) et Livre II chap. 4, 22-23, 34-37. Titre : Ἥρωνος Ἀλεξανδρέως τινὰ κλάσματα ἃ ἐν τοῖς σωζομένοις αὐτοῦ συγγράμμασι μόλις ἑρίσκοι. ff. 141-142 : vacat. ff. 143r-168v : De Automatis, éd. W. Schmidt, Heronis Alexandrini opera quae supersunt omnia, vol. 1, Leipzig Teubner, 1899, pp. 338-452. Ἥρωνος Ἀλεξανδρέως περὶ αὐτοματοποιητικῆς, inc. τῆς αὐτοματικῆς πραγματείας... expl. οἰκονομοῦνται ὅτι διαλάσσονται ??? / τέλος. ff. 169-170 : vacat.
f. 171 : note de Matthias Bernegger ff. 172r-300v : Manuel Bryenne, Harmonica, Livres I-II, éd. G.H. Jonker, The Harmonics of Manuel Bryennius, Groningen, Wolters-Noordhoff, 1970.ff. 172r-202v : Livre I, Μανουὴλ Βρυεννίου ἁρμονικῶν βιβλίων πρῶτον τμῆμα πρῶτον, expl. καὶ τὰ τούτοις ὅμοια / τέλος τοῦ πρώτου βιβλίου. ff. 202v-270r : Livre II, βιβλίον δεύτερον, expl. συστήματος ὑποδείγματι δείκνυται (pas de titre de fin). ff. 270v-300r : Livre III, βιβλίον τρίτον, expl. ἐν τοῖς ἐμπροσθεν ἐξεθέμεθα +diagramme pleine page f. 300v.
Data Source: Pinakes
On ignore à quel moment les deux parties de ce codex ont été réunies. Ce qui est sûr, c’est que le texte de Manuel Bryenne a appartenu à Abraham Unverzagt de Schemnitz (Slovaquie actuelle), qui, au moment de quitter Strasbourg en 1600, en fit cadeau à Matthias Bernegger (*1582 - † 1640) le 5 mai 1600. Abraham Unverzagt y avait sans doute fait ses études aux côtés de Matthias Bernegger, avant de rentrer dans sa patrie pour y devenir notaire municipal en 1616. Il mourra en 1629 (Deutschsprachige Handschriften... vol II, p. 476). Matthias Bernegger est resté à Strasbourg, où il devient professeur.La première partie, le texte de Héron, semble avoir été copié sur un exemplaire conservé à la bibliothèque du Grand Séminaire protestant de Strasbourg sous la cote C III 6, avant de périr dans l’incendie de 1870, ou bien sur le Vindobonensis phil. gr. 140, dont ils descendent tous deux. Vincent suppose que c’est bien le manuscrit de Strasbourg qui pourrait avoir servi d’antigraphe (p. 14-15 et 275). Le manuscrit perdu avait appartenu à Conrad Dasypodius († 1600), dont Bernegger a racheté l’essentiel de la bibliothèque (Bünder p. 138 sqq.).Sur le contre-plat supérieur se lit la note eruditissimo clarissimoque iuveni Samueli Petito dedit SAQG. Il est difficile de dire si cet ex dono ne concerne que le volume d’Héron, ou l’ensemble du codex. Le donateur n’a pas été identifié à ce jour, mais si l’initiale G est pour genevensis, il s’agit peut-être d’un des professeurs de Samuel Petit à l’université calviniste de Genève, qu’il fréquenta en 1611-1612. Il le quitta à l’âge de 17 ans à peine, ce qui est précisément l’âge d’un iuvenis.A la mort de Samuel Petit en 1643, sa veuve organise la vente de ses livres et fait dresser un catalogue (en 1645) qui nous est parvenu. Sous le numéro 16 des livres manuscrits, on retrouve notre codex (voir Omont, Les manuscrits... pp. 614-615), qui a sans doute été acquis par les frères Dupuy pour le compte de la bibliothèque royale. Comme en 1645, le catalogue de la bibliothèque était achevé, le volume n’a pas pu y être inséré, et les bibliothécaires ont sans doute commencé à constituer un fonds supplémentaire provisoire : le manuscrit porte au f. 1 le numéro 34, précédé d’une mention qui semble bien de la main de Dupuy : codex inter recenti emptos.Le manuscrit est ensuite catalogué dans le fonds général par Nicolas Clément et devient le regius 2169,3.
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