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Collection IIIF
Manifestes IIIF dans cette collection
Type de numérisation non spécifié
Numérisation :
Source des données : BnF Archives et manuscrits
Rognure importante ayant causé la perte de gloses ou parties de gloses (il est possible de mesurer l'importance de cette rognure lors de la reliure au XVIIIe s. grâce à un petit bout de parchemin au coin inférieur droit du f. 11 qui a échappé à la coupe, soit au moins 10 mm dans les marges extérieure et inférieure); les derniers ff. (à partir de 202) sont très endommagés; les trois derniers ff. du dernier cahier (de 8 ff.) manquent avec lacune de texte, la première lettre des vers est visible sur les fragments subsistants (voir plus bas). Plusieurs cahiers sont palimpsestes.
Source des données : Europeana regia
Copié à l'abbaye de Saint-Martin de Tours, vraisemblablement durant l'abbatiat de Fridugise (807-834) selon Rand (1929, vol. 1, n° 52 p. 120-121; n°68, p. 130 et n° 154, p. 176-177), bien que B. Bischoff (2007*, p. 133) l'ait classé dans sa liste des mss. attributés faussement à Tours, la forte parenté entre l'écriture de la main qui a copié le texte palimpseste et la main A du Paris, Bnf, latin 250, inciterait à renforcer l'attribution de Rand. L'antigraphe de ce ms. était probablement un ms. copié sous la direction d'Alcuin lui-même (Rand 1929, p. 130; Holtz, 2000, p. 309, 312). L'histoire postérieure de ce ms. est inconnue, mais elle s'éclairerait d'un élément nouveau si la cote non-identifiée (au f. 1, le chiffre 6 barré) venait a l'être. Quoiqu'il en soit, cette copie de Priscien est passé dans une collection privée (?) avant d'entrer en possession de Jean-Baptiste Colbert au XVIIe s. Il a ensuite été acquis par la Bibliothèque du roi en 1732 avec les mss. de Colbert.
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