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Source des données : BnF Archives et manuscrits

• 1 SYNÉSIUS DE CYRENE (M. 66) : 1(ff. 1-12v) calvitii encomium (M. 1168-1205) ; 2(ff. 12v-25v) Dion (M. 1112-1164) ; 3(ff. 25v-39) Aegyptius sive de providentia liber 1 et (ff. 39-45v) liber 2 (M. 1209-1281). 4(ff. 45v-48v) de dono astrolabii (M. 1577-1588) ; 5(ff. 48v-60v) de insomniis (M. 1281-1320).

  2 (ff. 60v-74) MARIN DE NAPLOUSE, Proclus sive de felicitate (éd. Boissonade, en appendice au Diogène de Laerce de Cobet [coll. Didot], 1850, p. 151-170) ; suivent (f. 74) deux épigrammes sur Marin et Proclus (Anth. pal., IX, 196. 197).

  3 (ff. 74v-76) GORGIAS, Helenae laudatio (éd. Blass, Antiphontis orationes, 1881, p. 150-159). Suivent dans une écriture fort abrégée a(f. 76) deux brefs extraits de DENYS D'HALICARNASSE ; (f. 76v) bdeux passages d'ARISTOTE *, de mundo (cap. 2 et 6 ; éd. Didot, 1854, p. 628, 46-629, 1 et p. 638, 34-40), cdeux autres fragments dont le premier est mis au compte de DENYS D'HALICARNASSE, dquelques notes sur la ponctuation (οἱ τύποι τῶν στιγμῶν).

  4 ESCHINE (éd. Martin-G. de Budé, Paris, 1927-1928), 1(ff. 77-98) contre Timarque. 2(ff. 98-100. 101-116) sur l'ambassade infidèle ; f. 100 liste des dix rhéteurs : Ἰσαῖος λ(όγοι) σʹ — Δημοσθέν(ης) λ(όγοι) οά ; (f. 116) notice sur Eschine (Ὅτι ἠδυνήθη νικῆσαι-ἀφανοῦς : éd. cit., p. 6-7). 3(ff. 116v-142) contre Ctésiphon. Ces trois discours sont accompagnés de scholies marginales ; la première (f. 77) ἐλπίζω] ἀντὶ τοῦ νομίζω, la dernière (f. 141v) πειθὼ] οἷον αὐτὴν τὴν θεὸν τὴν Πειθώ, καθὸ λέγει ὁ Δη(μοσθένης) πάντας πείθεσθαι τοῖς αὐτοῦ λόγοις (cf. F. Schultz, Aeschinis orationes, Leipzig, 1865, p. 254[3]-355 [256], en partie d'après notre ms.) ; les arguments font défaut. 4(ff. 142-147v) lettres* (éd. Martin, II, p. 123 ss.) ; un feuillet étant disparu après 147v, la fin de la douzième a été suppléée dans la marge inférieure du f. 147v par une main du XIIIe siècle.

  5 (ff. 148-154) LYSIAS, epitaphios.

  6 (ff. 154-168v) SYNÉSIUS, de regno (M. 66, 1053-1108).

  Le f. I (XIIIe-XIVe siècle, 32 lignes) contient des sentences, peut-être tirées de Stobée, touchant la sobriété et la richesse, l'amitié ; on trouve les noms de Démocrite (cf. Boissonade, Anecdota graeca, I, p. 118, 3), de Clitarque (cf. A. Elter, Gnomica, I, Leipzig, 1892, p. XL-XLIII), de Socrate.