Point d'entrée sur le patrimoine écrit du Moyen Âge et de la Renaissance en Occident du VIIIe au XVIIIe siècle
Moteur de recherche de manuscrits et livres anciens numérisés et intéropérables
Plateforme collaborative de gestion de publication des données d'autorité Biblissima
Aide à la lecture et apprentissage des langues anciennes, outils et environnements de travail en XML
Service d’expertise autour des standards IIIF
Référentiel d'autorité Biblissima : https://data.biblissima.fr/entity/Q77370
Manifeste IIIF
Numérisation :
Source des données : BnF Archives et manuscrits
ÉVANGELIAIRE noté. 1 Synaxaire, soit : 1(ff. 1-53v) Jean, inc. mut. εἰ]μὶ ἄξιος ἵνα λύσω αὐτοῦ (Jean 1, 27). 2(ff. 55-80v) samedis et dimanches de Matthieu ; la lecture du lendemain de la Pentecôte (ff. 53v-54v) est rattachée à Jean dans le ms. (cf. Gregory, Textkritik..., p. 347). 3(ff. 81-112v) samedis et dimanches de Luc, inc. mut. ἄγραν À καὶ ἀποκριθεὶς ὁ Σίμων (Luc 5, 4-5), par suite d'une lacune après f. 80v. 4(ff. 113-127) samedis et dimanches de Carême. 5(ff. 127-144v) Semaine Sainte. 6(ff. 144v-171) évangiles τῶν ἁγίων παθῶν. 7(ff. 171-178v) heures du vendredi saint, lecture des vendredi et samedi saints. 8(ff. 179-186) acolouthie des heures du vendredi saint, suivie (f. 186r.v) des douze tropaires. Par suite de la perte d'un ou de plusieurs feuillets après f. 186v, le texte s'interrompt sur la rubrique : Τέλος ἔλαϐε τὰ πάθη τοῦ σωτῆρος. ἄρχεται δ' ἐξῆς ἡ πρῶτη τῶν σαϐϐάτων.
2 (ff. 187-239) Ménologe, inc. mut. [sept. 2] καὶ ἐξελεύσεται καὶ νομὴν εὑρήσει (Jean 10, 9). On lit à la suite : 1(ff. 239-244) les évangiles ἑωθινά, et 2(f. 244v) les évangiles pour diverses circonstances ; le volume mutilé s'achève sur le début de l'évangile εἰς μάρτυρας, avec les mots ταῦτα ἐντέλλομε ὑμῖν (Jean 15, 17). — Sur l'ensemble, voir Gregory, Textkritik..., pp. 344 ss.
Les ff. 245-250v proviennent d'un Évangéliaire noté en onciale penchée (IXe siècle, parchemin, mm. 270 x 200, ff. 6, 32-34 lignes). Ils contiennent un fragment des lectures de la Semaine Sainte : inc. mut. (lundi saint) οἱ γε]ωργοὶ τοὺς δούλους (Matth. 21, 35), jusqu'au samedi saint. A la suite (f. 250v) lecture pour le 29 aoϋt (Matth. 14, 1-12 ἀπήγγειλαν τῷ Ἰησοῦ ; cf. Gregory, p. 384).
Deux feuillets de garde en parchemin (ff. Ir. v. 253) contiennent un fragment de l'homélie de [s. JEAN CHRYSOSTOME*, in sancta et magna Parasceve et in sanctam passionem Domini] [BHG3 635 b], depuis les mots [ἵνα] ἡμᾶς ἐκ τῶν διαϐολικῶν δεσμῶν (Μ. 62, 721, l. 10 ab imo), transcrite par une main inélégante du XIVe siècle. Le texte s'interrompt au milieu du f. 253 avec les mots μετα του ἀθανάτου βασιλέας ἀποθανὴν (Μ. 62, 724, l. 5). De la mκme main, cinq lignes au bas du f. 186v semblent appartenir au même discours, bien qu'elles ne figurent pas dans le texte de Migne.
Source des données : Pinakes
Volume acquis par la Bibliothèque nationale le 1er juin 1887.
Exports RDF à venir…
Vous pouvez visualiser et manipuler ce document directement sur ce site, le comparer à d'autres grâce au visualiseur Mirador, ou glisser-déposer cette icône dans le visualiseur IIIF de votre choix. En savoir plus sur IIIF