Point d'entrée sur le patrimoine écrit du Moyen Âge et de la Renaissance en Occident du VIIIe au XVIIIe siècle
Moteur de recherche de manuscrits et livres anciens numérisés et intéropérables
Plateforme collaborative de gestion de publication des données d'autorité Biblissima
Aide à la lecture et apprentissage des langues anciennes, outils et environnements de travail en XML
Service d’expertise autour des standards IIIF
Référentiel d'autorité Biblissima : https://data.biblissima.fr/entity/Q78452
Manifeste IIIF
Numérisation :
Source des données : BnF Archives et manuscrits
L'auteur, dans le manuscrit du British Museum, est nommé Haïder Tilbe تيلبه; Mir ʿAli Shir, dans le Meǧalis el-nefaïs, cite un Mir Haïder Meǧzoub (manuscrit Supplément turc, 965, folio 20 recto), qui est le même que Haïder Tilbe, tilbe signifiant « fou », qu'il connut dans sa jeunesse, qui vivait dans une extase presque continuelle, et un autre Maulana Haïder Turkigouï, qui fut le panégyriste de Sultan Sikender Shirazi (ibid., folio 94 recto), c'est-à-dire de Mirza Iskender, fils de Omar Sheïkh, fils de Temour, prince du Fars (m. 818 de l'hégire = 1415) ; ʿAli Shir, mort en 906 de l'hégire (1500), ne peut être le contemporain d'un homme qui rimait ses louanges à Mirza Iskender vers 812 (1409), d'où il résulte que ces deux poètes sont différents ; le Makhzen el-esrar étant dédié au padishah Iskender, c'est-à-dire à Mirza Iskender (folio 26 verso), il en faut déduire que l'auteur de ce poème est le personnage que Mir ʿAli Shir nomme Haïder Turkigouï. Manuscrit orné de deux sarlohs et de six peintures dans le style de Tabriz, vers 1550, où l'on trouve la copie d'un personnage vêtu à la mode occidentale.
Source des données : Mandragore
Schefer.
Exports RDF à venir…
Vous pouvez visualiser et manipuler ce document directement sur ce site, le comparer à d'autres grâce au visualiseur Mirador, ou glisser-déposer cette icône dans le visualiseur IIIF de votre choix. En savoir plus sur IIIF