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Collection IIIF
Manifestes IIIF dans cette collection
Type de numérisation non spécifié
Numérisation :
Source des données : BnF Archives et manuscrits
F. 1r (addition) : Prosa de sancto Stephano « De Stephani roseo sanguine » (AH 21 p. 195, Chevalier n° 4258 ; de la main de Bernard Itier). F. 1v : Hieronymus Stridonius, Prologus in libro Iob, inc. « Cogor per singulos scripture divine libros…. », expl. « et nomen civitatis eius Chettem » (CPL 591 H ; éd. Weber, Biblia Sacra, 1975, p. 731-732). F. 2r-155v : Gregorius I, Moralia in Iob (lib. 1 - 15,57) : f. 2r-9v : Liber Iob, inc. « Vir erat in terra Hus nomine Iob… », expl. « …in sinu meo » ; f. 10ra-11rb : Epistula ad Leandrum, inc. « Dudum te frater beatissime… », expl. « …labor studii ex utraque fulciatur » ; f. 11vb-14ra : Praefatio, inc. « Inter multos sepe queritur… », expl. « …de allegoriarum fructu saciare » ; f. 14ra-154vb : Moralia in Iob, inc. « Vir erat in terra… », expl. « … qui presentem vitam viam sibi esse et [non patriam attendit…] ». (CPL 1708, éd. M. Adriaen, CCSL 143A). F. 155r-v (addition) : Gregorius I, Moralia in Iob (lib. 15,57-63) : inc. « …non patriam attendit… », expl. « … Amici beati Iob eum conso[lari…] » (CPL 1708 ; éd. M. Adriaen, CCSL 143A).
Source des données : Mandragore
Le manuscrit a été produit dans le Limousin, peut-être à Saint-Martial de Limoges ; il a appartenu à cette abbaye depuis le XIIe siècle, comme l’attestent la prose copié et signé par Bernard Itier (f. 1r, « …scripsit B. Iterii armarius »), la cote ancienne de Saint-Martial (f. 2r, « XVII »), et l’annotation de 1228 mentionnant l’abbé Raimond Gaucelin (f. IIv, « Anno Domini M° CC° XX° VIII° in festo sancti Egidii dominus Raymundus abbas huius loci sedens in camera sua multisque de nostris astantibus ibidem dedit Aymoino preposito Canbonensi in priorem claustri Canbonensis Stephanum Aim[er]ci monachum nostrum et ipse recepit sine contradictione aliqua et duxit eum apud Canbonium in propriis equitaturis suis et expensis » ; cf. Chroniques de Saint-Martial, p. 194-195). Le volume entra à la Bibliothèque Royale en 1730, avec d’autres manuscrits de Saint-Martial (cf. cote au f. Ir, « 3587.2 », suivie de la mention du contenu, XVIIIe siècle).
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