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Parch., XVe s. (a. 1422), I + 50 ff. (f. 50-50 v°, essais de plume ou annotations diverses), 248 X 164 mm., just. : 165 X 105 mm., 33 long. lignes, réglure à l’encre. Cahiers : 1-68 + 1 feuillet double, non signés, réclames horizontales à la fin de chaque cahier. Lettre rubriquée au f. 1, initiales rubriquées. Quelques gloses marginales postérieures. Titres anciens au f. I v° : « Boetius de consolatione » (XVe s. (a. 1461? cf. Possesseurs) et XVIe s.).
inc. : « limen tristis excessit... » (f. 3).
expl. : «... fiunt per conductio » (f. 48 v°).
: « nem diuine notionis... » (f. 49).
Source des données : Persée - DER-IRHT, XLI
~ f. 1-49 v° : Boethivs, Consolatio philosophiae (Clavis n° 878).
titre (add. contempor. et du XVIe s.) f. de garde : « Boetius de consolatione ».
ordre des livres : I f. 1-8 v°, II f. 8 v°-18, III f. 18-31 v°, IV f. 31 v°-41 v°, V f. 41 v°-49 v°.
f. 50 v° (add. et essais de plume) : ‹Textus et carmina›. parmi lesquels :
1) « Vado rationem redditurus
Sententiam auditurus
penitentiam consumaturus
ad mortem quam non possum uitare
ad judicem quem debeo formidare
ad locum in quo non potero amplium laborare » (XVe).
2) « Adam, Noe, Abraam, Dauid, transmigratio Babylone, aduentus Christi, usque ad Noe, Abraam, Dauid, transmigrationem Babylone, aduentus Christi, Finem mundi cuius nos perfuit diliuium, confusio linguarum, captiuatio Iudeorum, preuaricatio Iudeorum, Renouatio Veteris Testamenti, Resurrectio mortuorum » (XVe).
3) « Ales (?) unda fouet Gamelion aere uiuit... » (6 v.) (XVe).
4) ‹Anthol. lat. 257 (note)›.
« Sic uos non uobis uellera fertis aues
Sic uos non uobis fertis aratra boues
Sic uos non uobis mellificatis apes
Sic uos non uobis nidificatis aues » (XVe).
Source des données : Initiale
Origine : indéterminée, écriture gothico-humanistique régulière d’une seule main ; invocation datée du 7 novembre 1422 du copiste au f. 49 v° : « Hic liber est scriptus, qui scripsit sit benedictus. Amen. Die VII nouembris millesimo CCCCXXIIa indictione XVa. Deo gratias totique celesti curie semper. Amen. ».
Possesseur : possesseur inconnu d’après un ex-libris gratté au f. 50, antérieur sans doute à 1461 ; abbaye Saint-Pierre de Corbie. Le manuscrit y est parvenu par l’intermédiaire du moine Charles Caubbet (ou Cauwet?) qui acheta plusieurs manuscrits en 1461 (cf. infra, Amiens, Bibl. mun. 441) d’après les ex-libris du XVe s. (1461 sans doute) au f. I v° : « Iste liber est Karoli Caubbet (Cauwet?) religiosi et infirmarii Corbeyensis » et au f. 49 v° (1461) : « Iste liber est de ecclesia Beati Petri Corbeiensis quem precio comparauit Karolus Caubbet (Cauwet?), religiosus prefate ecclesie anno Domini M°IIIItoLXI°. Oretis pro eo. », f. 1 : « Monasterii Sancti Petri Corbeiensis » (XVIIe s.) et cote ancienne du XVIIe s-XVIIIe s. au f. I v° : « num. ducentesimus vigesimus tertius, num. 223 » (surchargé en « 222 »).
Source des données : Biblissima
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