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Source des données : BnF Archives et manuscrits
1 (ff. 2-96v) Origène , Philocalie (v. P. Koetschau, Die Textüberlieferung der Bücher des Origenes gegen Celsus in den Handschriften dieses Werkes und der Philokalia. Prolegomena zu einer kritischen Ausgabe, Leipzig 1889, pp. 101-104). 2 (ff. 98-223v) Arrien , Anabase (v. A.G. Roos, éd., Flavii Arriani quae exstant omnia, I, Leipzig 1907, pp. XXVII-XXVIII et XXXV, sigle a ). 3 (ff. 223v-246) Arrien , L’Inde. 4 (ff. 246-247v) Diodore du Sicile , Bibliothèque historique, 18.1-18.24, 4, Διοδώρου ταφαὶ Ἀλεξάνδρου, des. μεγαλοπρεπέσι τιμήσας κατέθετο. Cf. M. Manfredini, « Osservazioni su codici plutarchei », Annali della Scuola Normale Superiore di Pisa. Classe di Lettere e Filosofia, 20, 1990, pp. 797-829 : 797. 5 (ff. 248v) Bessarion , Vers sur la tombe de Thédora Paléologue, éd. S.P. Lampros, Παλαιολόγεια καὶ Πελοποννησιακά, IV, Athènes 1930, pp. 94-95, PG 161, col. 621, cf. A. Rigo, « Le opere d’argomento teologico del giovane Bessarione », dans G. Fiaccadori, éd., Bessarione e l’Umanesimo. Catalogo della mostra [Istituto Italiano per gli studi filosofici, Saggi e ricerche, 1], Naples 1994, p. 35 et H.D. Saffrey, « Recherches sur quelques autographies du cardinal Bessarion et leur caractère autographe », dans Mélanges Eugène Tisserant, III [Studi e Testi, 233], Vatican 1964, p. 289. 6 (f. 249r-v) Jean Zonaras , Epitome historiarum, deux extraits (cf. M. Manfredini, art. cit., pp. 797-798) : a) (f. 249r) ὅσα ἐγένοντο περὶ τὸν θρίαμβον Πομπήιου τοῦ Μάγνου, inc. τοῦ δὲ θριάμβου, des. ἐτῶν τεσσαράκοντα, éd. Dindorf, II, pp. 352 l. 15 – 353 l. 12b) (f. 249v) inc. εἶτα ὁ εἷς τῶν τιμητῶν, des. αὐτῷ ἀνετέθη πόλεμος, éd. Dindorf, II, pp. 345, l. 26 – 346, l. 3.
Source des données : Pinakes
Histoire du manuscrit – Le manuscrit a appartenu à Démétrios Ioulianos, kapikehaya de Nicolas Mavrocordato et grand logothète du patriarchat de Constantinople dans les deux premieres décennies du XVIIIe siècle, comme l’indiquent deux mentions de possessions dans la marge supérieure du f. 2 : ἐκ τῆς βιβλιοθήκης Δ. τοῦ Ἰουλιανοῦ – cette note a été barrée ultérieurement – ἐκ τῶν βιβλίων Δημητρίου τοῦ Ἰουλιανοῦ. Sur Démétrios Ioulianos, v. M.I. Gedeon, Μνεία των προ εμού : 1800 – 1863 – 1900, Athènes 1934, pp. 52-53, P. Stathis, « Ὁ ‘σοφώτατος Ἐσὰτ Ἐφέντης’ φίλος καὶ ἀλληλογράφος τοῦ Χρυσάνθου Νοταρᾶ », Ὁ Ἐρανιστής, 18, 1986, pp. 57-84 : 57, 65, 77, Ead., « Αλληλογραφία: Ένας αδιάψευστος μάρτυρας των ιστορικών γεγονότων. Aλληλογραφία από τη Συλλογή του Mετοχίου του Παναγίου Tάφου Kωνσταντινούπολης », dans : E. Close, M. Tsianikas and G. Couvalis, éd., Greek Research in Australia: Proceedings of the Sixth Biennial International Conference of Greek Studies, Adelaide, 2005, pp. 389-400 : 393. Au f. 1v, une main du XVème siècle a reporté un poème en 12 vers dodécasyllabes sur Origène : inc. εἰ μὲν θέλεις ἄνθρωπε θαυμάζειν βίον, des. ῥανίδες ἁγναὶ μυστικῆς εὐωδίας, éd. E. Miller, Manuelis Philae Carmina, II, app. XXI, p. 381 (avec des variantes), cf. I. Vassis, Initia Carminum Byzantinorum, p. 187. Au f. 1r, une main du XVIIIe s. a reporté deux extraits de la Philocalie : 1) ιε΄ λόγος ἐκ τῶν Ὠριγένους, inc. καὶ ἔστιν ἰδεῖν τοὺς ἐπὶ φιλοσοφίᾳ μέγα φρονοῦντας, des. εἰς τιμήν φησιν ἐκείνου, XV, 6, éd. Robinson, p. 74, ll. 12-14 (= Contre Celse, VI 4, éd. Koetschau, II, pp. 73 l. 27 ¬– 74, l. 2), cet extrait étant suivi par un renvoi au livre 19 : ἔτι δε ἐν τῷ ιθῳ ὄψει. 2) κ΄, inc. εἰ δὲ καὶ τοῖς ἀγριωτάτοις τῶν ζώων, des. γυμνασίου εἶναι γεγονέναι τῷ λογικῷ ζώῳ, XX, 3, éd. Robinson, p. 127, ll. 22-25 (= Contre Celse, IV 75, éd. Koetschau, I, p. 345, ll. 19-22). Le manuscrit a été rapporté de Constantinople dans les décennies précédant la publication du catalogue de 1740. Dans ce catalogue, le manuscrit est signalé comme « Constantinopoli nuper in Bibliothecam regiam illatus » (Catalogus codicum manuscriptorum Bibliothecae regiae. Pars secunda complectens manuscriptos graecos, Paris 1740, p. 64, cf. H. Omont, Missions archéologiques françaises en Orient aux XVIIe et XVIIIe siècles, Paris 1902, II, p. 1117). Sur le premier folio de garde, notice manuscrite de la main de François Sevin. Estampille de la Bibliothèque royale aux ff. 2 et 249v (Josserand-Bruno, n° 1).
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