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Manifeste IIIF
Numérisation :
Source des données : BnF Archives et manuscrits
(ff. 1r-107v) Théon de Smyrne, Expositio rerum mathematicarum ad legendum Platonem utilium, éd. E. Hiller, Theonis Smyrnaei philosophi platonici expositio rerum mathematicarum ad legendum Platonem utilium, Leipzig, 1878, 1,1-119,21 : [pas de titre f.1r] ; [f.41v : espace laissé pour un titre non réalisé au début de la section musicale du traité] ; [desinit] λείπεται δὲ μνημονεῦσαι στοιχειωδῶς καὶ τῶν κατ' ἀστρονομίαν ; [formule de fin] τέλος. Le texte est accompagné de figures et se limite à la première partie, arithmétique et musicale, du traité de Théon.
Source des données : Pinakes
Manuscrit provenant de la collection constituée dans la seconde moitié du seizième siècle par les érudits français Jean-Jacques De Mesmes et son fils Henri De Mesmes, comme l'indiquent plusieurs éléments caractéristiques tels que la reliure à décor orientalisant et le numéro français Quatre tracé en toutes lettres en haut du f. 1r. Comme Jacques Diassorinos est un des copistes employés par Jean-Jacques de Mesmes pour enrichir sa collection de manuscrits, il est possible que le Paris. gr. 1819 ait été une commande de ce dernier.
Les manuscrits De Mesmes sont passés dans les collections royales par l'intermédiaire de celle de Colbert , à qui ils ont été donnés en 1679 par la Duchesse de Vivonne.
Après la mort de Colbert en 1683, ses livres passent successivement à deux de ses fils, Jean-Baptiste Colbert, marquis de Seignelay, mort en 1690, puis l'archevêque de Rouen, Jacques-Nicolas Colbert, mort en 1707 ; celui-ci lègue la collection au fils du marquis de Seignelay, l'abbé Charles-Éléonor Colbert, qui, malgré les dispositions du testament de son oncle, entreprend de disperser la bibliothèque colbertine : les imprimés sont vendus en 1728 et des négociations commencent la même année en vue de l'acquisition des manuscrits par le roi ; en février 1732, aucun accord n'ayant été trouvé sur le prix de la collection, Charles-Éléonor Colbert finit par l'offrir au roi en comptant sur sa générosité et obtient une compensation de 300 000 livres. Les manuscrits sont portés à la librairie royale les 11 et 12 septembre 1732.
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