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Manifeste IIIF
Numérisation :
Source des données : BnF Archives et manuscrits
(ff. 1r-116r) Syrianus, Commentaire à la Métaphysique d'Aristote, éd. W. Kroll, Syriani in Metaphysica commentaria [CAG, VI, 1], Berlin, 1902 : (ff. 1r-35r) commentaire au livre B : [titre] συριανοῦ τοῦ φιλοξενου περὶ τῶν ἐν τῶ β΄ τῆς μετὰ τὰ φυσικὰ ἀριστοτέλους πραγματειας λογικῶς ἠπορημενων καὶ διαίτης ἠξιωμένων ; [mention de fin] τέλος ; le commentaire au livre Γ (54,1-79,23) est omis, ce que signale la note suivante, placée à la fin du commentaire au livre B : τὰ εἰς τὸ γ' τοῦ συριανοῦ τοῦδε ἐγράφει περὶ τὸ προκείμενον ἐκεῖσε μετὰ τῆς τοῦ ἀλεξάνδρου ἐξηγήσεως ; (ff. 35v-116r) commentaire aux livres Μ et N : [titre] συριανοῦ τοῦ φιλοξένου ἐπισκέψεις τῶν ἀριστοτέλους ἀποριῶν πρὸς τὰ μαθήματα, καὶ τοὺς ἀριθμοὺς, τῶν ἐν τῶ μῦ καὶ νῦ τῆς μετὰ τὰ φυσικὰ πραγματείας αὐτοῦ; (ff. 35r-94v) livre M ; [titre intermédiaire f. 51r] ὁ περὶ ἰδεῶν λόγος ; la mise en page du f. 90r-v suggère une division du texte, puisqu'au recto le texte s'achève en 160,5 par un rétrécissement et que le verso fait précéder 160,12 d'un large bandeau à entrelacs ; dans le passage intermédiaire (160,6-11), qui figure au bas du f. 90r, Syrianus explique que certains auteurs font s'achever ici le livre M, que la plupart des manuscrits suivent Alexandre en plaçant plus loin (165,22-23) la limite des livres M et N, et enfin que cette délimitation importe peu au travail d'exégèse en cours ; (ff. 94v-116r) livre N : le passage du livre M au livre N est signalé par une frise rubriquée suivant la formule de transition présente dans le texte de Syrianus (μέχρι τούτων ὁ ἀφροδισιεὺς τὸ μῦ προσάγει· τὸ δ΄ ἑξῆς ἀπονέμει τῷ νῦ) ; [mention de fin] τέλος.
(ff. 117v-118v) , Question I 25, éd. I. Bruns, Alexandri Aphrodisiensis praeter commentaria scripta minora [Supplementum Aristotelicum, II,2], Berlin, 1892 : [titre] εἰς τὰ περὶ προνοίας τίνα συντελοῦντα ; [mention de fin] τέλος.
Source des données : Pinakes
Provient de la bibliothèque de Colbert, dans laquelle il portait la cote 1173 lisible dans la marge supérieure du f. 1r.
Après la mort de Colbert en 1683, ses livres passent successivement à deux de ses fils, Jean-Baptiste Colbert, marquis de Seignelay, mort en 1690, puis l'archevêque de Rouen, Jacques-Nicolas Colbert, mort en 1707 ; celui-ci lègue la collection au fils du marquis de Seignelay, l'abbé Charles-Éléonor Colbert, qui, malgré les dispositions du testament de son oncle, entreprend de disperser la bibliothèque colbertine : les imprimés sont vendus en 1728 et des négociations commencent la même année en vue de l'acquisition des manuscrits par le roi ; en février 1732, aucun accord n'ayant été trouvé sur le prix de la collection, Charles-Éléonor Colbert finit par l'offrir au roi en comptant sur sa générosité et obtient une compensation de 300 000 livres. Les manuscrits sont portés à la librairie royale les 11 et 12 septembre 1732.
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