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Manifeste IIIF
Numérisation :
Source des données : BnF Archives et manuscrits
(ff. 1r-220v) Syrianus, Commentaire à la Métaphysique d'Aristote, éd. W. Kroll, Syriani in Metaphysica commentaria [CAG, VI, 1], Berlin, 1902 : (ff. 1r-69v) commentaire au livre B : [titre] ΣΥΡΙΑΝΟΥ ΤΟΥ ΦΙΛΟΞΕΝΟΥ ΠΕΡΙ ΤΩΝ ΕΝ ΤΩΙ ΔΕΥΤΕΡΩΙ ΤΗΣ ΜΕΤΑ ΤΑ ΦΥΣΙΚΑ ΑΡΙΣΤΟΤΕΛΟΥΣ ΠΡΑΓΜΑΤΕΙΑΣ ΛΟΓΙΚΩΣ ΗΠΟΡΗΜΕΝΟΝ ΚΑΙ ΔΙΑΙΤΗΣ ΗΞΙΩΜΕΝΩΝ ; [mention de fin] τέλος ; (ff. 70r-130v) commentaire aux livres Μ et N : [titre] συριανοῦ τοῦ φιλοξένου ἐπισκέψεις τῶν ἀριστοτέλους ἀποριῶν πρὸς τὰ μαθήματα καὶ τοὺς ἀριθμοὺς τῶν ἐν τῷ μυ καὶ νυ τῆς μετὰ τὰ φυσικὰ πραγματείας αὐτοῦ ; (ff. 70r-176v) livre M ; [titre intermédiaire f. 100r] ὁ περὶ ἰδεῶν λόγος ; la présentation des ff. 167v-168r suggère une division du texte, puisqu'au f. 167v le texte s'achève en 160,5 par un rétrécissement suivi de la mention de fin τέλος et qu'au f. 168v, le texte reprend en 160,12 avec de grandes initiales dorées pour le lemme et le commentaire correspondant ; dans le passage intermédiaire (160,6-11), copié au f. 168r avec des rétrécissements symétriques du texte, Syrianus explique que certains auteurs font s'achever ici le livre M, que la plupart des manuscrits suivent Alexandre en plaçant plus loin (165,22-23) la limite des livres M et N, et enfin que cette délimitation importe peu au travail d'exégèse en cours ; (f. 176v-223r) livre N : le passage du livre M au livre N n'est signalé que par le rétrécissement du texte de la formule de transition présente dans le texte de Syrianus (μέχρι τούτων ὁ ἀφροδισιεὺς τῶ μυ προσάγει· τὸ δ΄ ἑξῆς ἀπονέμει τῶ νῦ) ainsi que par les grandes initiales dorées du lemme suivant et de son commentaire.
(ff. 221r-131v) , Question I 25, éd. I. Bruns, Alexandri Aphrodisiensis praeter commentaria scripta minora [Supplementum Aristotelicum, II,2], Berlin, 1892 : [titre] εἰς τὰ περὶ προνοίας τίνα συντελοῦντα ; [mention de fin insérée dans un motif d'entrelacs avec têtes zoomorphes] τέλος.
Source des données : Pinakes
Selon Omont (Inventaire sommaire, Introduction, p. xciv), le manuscrit a fait partie de la collection de Roger de Gaignières, mais sans y porter de numéro. Il est possible que, dans l'inventaire établi lors de la donation au roi, ce manuscrit corresponde au numéro 1032, décrit comme suit : Un grand volume grec, Sur papier avec vignettes couvert de velours rouge fol. ; sinon, il faisait partie de l'ensemble regroupé sous le numéro 1033 : Vingt manuscrit grecs et hebreux de differentes grandeurs (mélanges de Clairambault 436, coté Clair 1032).
Gaignières fait donation au roi de sa collection le 19 février 1711, tout en en conservant l'usufruit jusqu'à sa mort, qui survient le 27 mars 1715. La collection est divisé en trois lots, l'un destiné à la Bibliothèque royale, l'autre aux Affaires étrangères et un autre vendu aux enchères.
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