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Numérisation :
Numérisation intégrale
Parch., XIVe-XVe s., III + 153 ff. (+f. 75 bis; pas de f. 64 par erreur; f. 153 v° blanc), 297 x 210 mm. Gloses marginales et interlinéaires contemporaines abondantes surtout aux f. 1-40 et 58-139 v°. Le f. 1 est en partie effacé par frottement; à partir du f. 117 plusieurs feuillets palimpsestes portent des fragments de comptes écrits en travers en écritures cursives italiennes du XIVe s.
Source des données : Heidelberger historische Bestände – digital
Langue(s) des textes dans le manuscrit : latin
Titre(s) : 1r-153r - Vergilius: Aeneis
Source des données : Persée - DER-IRHT, XXI
f. 1-153: Vergilivs, Aeneis (cum argumentis Ps. Ovidii II-VI et XII).
précédé de la Praefatio Aeneidos, inc.: «Ille ego qui condam... » (4 v. - éd. cf. supra, Pal. lat. 1055, f. 212).
(gloses praef.) inc. f. 1 marge de droite: «Ille ego qui quondam. Virgilius more boni poetae tria facit, primo proponit, 2° inuocat, 3° narrat... ».
entre la Praefatio et le texte, plusieurs lignes laissées en blanc, peut-être pour l’argument I.
(gloses texte) inc. f. 1 marge de droite: «Italiam fato hic est estasis, id est productio contra naturam cum Italiam grece debeat dici... ».
les arguments II (f. 11) et III (f. 21 v°-22 v°) n’ont que 10 v., celui du liv. IV (f. 32 v°) n’a que 4 v. :
inc.: «A‹T› regina graui Veneris iam capitur igni...».
expl.: «... Itur uenatum Veneris clam federa iungunt ».
en haut du f. 33, 6 lignes ont été laissées en blanc pour les vers non transcrits et on lit dans la marge à droite: «X. uersus ».
les arguments V (f. 44 v°) et VI (f. 57 v°-58) ont 11 v.
(argum. XII) inc. f. 139 v°: «[D]vodecimo Turnus diuinis occidit armis...».
(argum. XII) expl. f. 139 v°: «... Circumfusa acie nita spoliauit et armis » (le v. 7 a été reporté à la fin, les v. 4, 5, 6 et 8 ont été omis).
(gloses liv. XII) inc. f. 139 v° marge de gauche: «Iste XII. et ultimus liber diuiditur in. IIII.or capitula, in primo continetur qualiter facta est confederatio certaminis singularis inter Turnum et Eneam... ».
expl. f. 145 v°, marge de droite: «... salubris que est herba diuina » (cf. XII, 405).
à la fin du texte: «Explicit liber Virgilii eneidos Deo gratias Amen Amen Amen ».
Origine: italienne, écritures gothiques arrondies.
Possesseurs: la famille Chabriel (Gabrielli ?) de Venise, dont plusieurs ex-libris figurent parmi les essais de plume: au f. I v° (=a v°), en écriture très irrégulière du XVe s.: «Questo Virgilio si e mio Michele Chabriel che sto a san zan e polo fio de misire (?) Jachomo Chabriele » et au dessous, en écriture plus régulière: «Iste Virgilius est meus Nicholai Chabrielis filius domini» (laissé inachevé), et au f. II (=b): «Nicolo Nicolo Chabriel»; et en dessous: «Questo Vergilio sie de Zacharya Chabriel » (la suite est illisible, en écriture très irrégulière du XVIe s.); Ulrich Fugger (au f. 1 cote: 74 seors, au f. I v° cote du transfert: P.6.F. n° 51); bibliothèque palatine de Heidelberg (au f. I cote du transfert: C. 84/486).
Source des données : Biblissima
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