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Parch., f. 1 v°-113 v°: XIIIe s., f. 1 (refait sur grattage), 114-166 v°: XIVe s. (f. 114-153 palimpseste, le texte primitif semble avoir été le liv. II de l'Énéide), 166 ff. + 1 f., 190 x 125 mm. Gloses marginales du XIIIe-XIVe s., abondantes jusqu’au f. 26 v°, plus rares ensuite.
Source des données : Persée - DER-IRHT, XXI
f. 1-11: Vergilivs, Eclogae seu Bucolica.
pas de titre.
(glose Ecl. 2) inc. f. 2 en marge: «Intendit hic Virgilius Augustum Ce‹sarem› inflectere ad carmina sua inspicienda...».
f. 11-39: Vergilivs, Georgica (cum argumentis Ps. Ovidii I-II, IV).
(glose) inc. f. 11 en marge: «Finita propositione accedit ad inuocationem et quia se tractaturus promiserit...».
(autre glose d’une autre main, en partie rognée): «Incipit erga cai imeras id est opera et di‹es...› Virgilius tribus suis operibus tres...».
f. 39 (à la suite du texte): «Dardanus ex Ioue et Electa Athlantis» (début de l'Origo Troianorum, cf. supra, Borgia lat. 413, f. 41 v°).
f. 39 v°: Anthol. lat. 634.
expl. incomplet: «... equore Teucros» (v. 3).
f. 39 v°-166 v°: Vergilivs, Aeneis (cum argumentis Ps. Ovidii II-XII).
f. 113 v° (XIIIe s.): «... Nunc manibus rapidis omni nunc arte magistra //», réclame: «Precipitate» (VIII, 442).
f. 114 (XIVe s.): «// Precipitate moras nec plura...» (VIII, 443).
f. 165 v°: «... Aut uocem mutare uiros aut uertere uestes //» (XII, 825).
1 feuillet manque.
f. 166: «// Tollentemque manu saxum...» (XII, 904).
à la fin: «Explicit liber ultimus. Deo gratias. Amen».
f. 166 v° (add. du XVe s.): Praefatio Aeneidos.
inc.: «Ille ego qui condam...» (cf. supra, Barb. lat. 91, f. 52).
Origine: italienne, f. 1 v°-113 v°: petite écriture encore assez arrondie; f. 1, 114-166 v°: écriture gothique semi-cursive.
Possesseurs: on lit en marge du f. 166 v° d’une écriture humanistique du XVe s.: «‹I›ste liber est mei Gabrieli d‹e› Gate (?) d‹e›m̅b (?)», et en dessous d’une main semblable: «Non ego fabritus (?) Pirri corrompor ab auuro [sic]», et au bas du même feuillet: «Vidua est domus / Quia dominus Lazarus / Pagnanus mortuus et sepultus est ».
Source des données : Biblissima
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