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Manifeste IIIF
Numérisation :
Source des données : BnF Archives et manuscrits
F. 1r : blanc. F. 1v : table du contenu. F. 2r-59v, 60r-86v : Eutropius, Historia Romana (sive Breviarium ab Urbe condita), lib. I-X, cum appendice Pauli Diaconi, Historia Romana, lib. XI-XVI, inc. « Primus in Italia, ut quibusdam placet, regnavit Ianus », expl. « in sequenti Deo presule libello promenda sunt » (éd. H. Droysen, MGH Scriptores Auct. ant. 2, p. 6-182, 183-224). F. 86v-89r : [Catalogus imperatorum Romae vel Constantinopolim regnantium, ab Augusto usque ad Iustinum], inc. « Augustus regnavit annos quinquaginta sex », expl. « Iustinus Constantinopolim regens imperium per annos novem dies viginti quatuor morbo periit ». F. 89r-134r : Victor Vitensis, Historia persecutionis Africanae provinciae, inc. « Quondam veteres sectatores sapientie enucleare atque sciscitari assidue », expl. « Nicasius in brevi simili morte periit » (CPL 798 ; éd. C. Halm, MGH Scriptores Auct. ant. 3.1, p. 1-58 ; éd. M. Petschenig, CSEL 7, p. 3-107). F. 134r-137r : Victor Vitensis (pseudo), Passio VII monachorum (sive Passio beatissimorum martyrum qui apud Carthaginem passi sunt sub rege Hunirico die VI Non. Iul.), inc. « Predicaturus triumphos martyrum beatorum ad enarranda que gesta sunt », expl. « et speciosum certaminis sui coronante domino perfecerunt cursum, cui est honor… » (CPL 800 ; éd. C. Halm, MGH Scriptores Auct. ant. 3.1, p. 59-62 ; éd. M. Petschenig, CSEL 7, p. 108-114). F. 137v : blanc.
Source des données : Mandragore
Ce manuscrit, d’après l’écriture, a été copié en Angleterre au milieu du XIIe siècle ; ex-libris (XIIe siècle) effacé au f. 2r, dont on lit le mot « liber » à l’encre rouge.Il a fait partie de la collection de William Cecil (1520-1598), baron Burghley (ou Burleigh).Il a été ensuite acheté à Londres en 1687 (cf. vente Burghley, n° 58 : « Eutropii historia romana. Victor Vitensis Historia de persecutione ecclesiae Affricanae a Vandalis ») pour la bibliothèque Colbertine par Étienne Baluze. Après la mort de Jean-Baptiste Colbert (1683), c'était le marquis de Seignelay (Jean-Baptiste Antoine Colbert, 1651-1690) qui en avait hérité la riche bibliothèque ; Baluze, qui en tint la garde jusqu'à 1700, continua à acheter des manuscrits. Au f. 2r, cote ancienne « Cod. Colb. 3119 ».Le volume entra enfin à la Bibliothèque Royale en septembre 1732 (cote Clément « Regius 5297.3 »), avec d’autres manuscrits colbertins. Au f. 2r, mention du contenu, biffée ; sur la marge inférieure, cote actuelle « 5796 ».
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