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Source des données : BnF Archives et manuscrits
Le titre, imprimé en rouge, est entouré d'un joli encadrement, tiré en noir.
Les ambassadeurs que François Ier avait chargés de soutenir officiellement ses prétentions à l'empire étaient : Jehan d'Albret, sire d'Orval, comte de Dreux, Guillaume Gouffier, seigneur de Bonnivet, amiral de France, et Charles Guillart, président au parlement de Paris. Le manifeste dont nous avons ici le texte fut le dernier appel qu'ils adressèrent aux électeurs. Déjà la partie était perdue pour François Ier. Le 26 juin 1519, le roi de France prescrivit à ses agents de soutenir la candidature d'un prince allemand qui barrât le chemin au roi d'Espagne. Il était trop tard. Le 28 juin, le jour même où les imprimeurs d'Augsbourg publiaient le présent volume, Charles-Quint était élevé à l'Empire. On lit à la fin de l'édition les trois distiques suivants qui font bien connaître l'état des esprits en Allemagne à ce moment :
Cum sis Franciscus, Gallus, rex gallice, quum sis,Imperium poscis qua ratione tibi ?Franciscus nemo est hoc Caesar nomine factus,Nec Gallus me quis sospite Caesar erit.Caesar Germanus mihi rex et Carolus esto ;Quare, Francisce et Galle repulse, vale.
Le v° du dernier f. est blanc.
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