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Manifeste IIIF
Numérisation :
Papier (filigrane var. Briquet 3545: Gênes, 1458), XVe s., III + 211 ff., 275 x 202 mm.
Source des données : Persée - DER-IRHT, XXI
f. 1-205: Ovidivs, Metamorphoses.
titre f. 1 marge supér.: «Publii Nasonis Ouidii methamorphoseos liber primus incipit».
chaque livre est précédé de la pièce correspondante (12 v.) de la Summa memorialis, d’Oricvs de Capriana (cf. J. Fohlen, op. cit. infra):
(Summa I) inc. f. 1: «IN primo quod massa rudis fuit aut chaos olim...».
(Summa XV) expl. f. 190: «... Pretulit inuiti nullis obnoxia iussis».
à la fin du texte: «Finis. Summa fabularum CCXVI».
f. 205: Ovidivs, Tristia (extraits).
1) inc.: «Orba parente suo quicumque uolumina cernis...».
expl.: «... Emendaturus si licuisset eram» (I, 7, 35-40).
suivi du distique:
«Bis sex millenos uersus in codice scriptos
Sed ter quinque minus continet Ouidius»,
recopié au f. 209 v° en capitales.
2) inc.: «Hic ego qui iaceo tenerorum lusor amorum...».
expl.: «... sentiet officium mesta fauilla pium» (III, 3, 73-84).
f. 205 v°: Ps. Ovidivs, De medicamine aurium.
à la fin: «Finis Ouidii de surdo medicamine aurium» (éd. crit. F. W. Lenz, Das pseudo-ovidische Gedicht De medicamine aurium, dans Ovidiana, Paris, 1958, p. 536-537).
— Ovidivs, Tristia (extrait).
«Sulmo mihi patria est... ab urbe nouem» (IV, 10, 3-4).
— Ovidivs, Amores (extrait).
«Mantua Virgilio, gaudet Verona Catulo
Gentis Pellignȩ gloria dicor ego» (III, 15, 7-8).
f. 206-208 v°: Ps. Ovidivs, De nuce.
à la fin: «Finis Ouidii de nuce». (éd. cf. supra, Chigi H. V. 169, f. 124 v°-128 v°).
Origine: italienne (Gênes ? d’après le filigrane), grosse écriture humanistique peu soignée.
Possesseur: le cardinal Fabio Chigi (cote moyenne 2138 ou 2158).
Source des données : Biblissima
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