Paris. Bibliothèque nationale de France, Département des manuscrits, Latin 15325

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  • Titre attesté :
    • PETRUS LOMBARDUS , Sententiarum libri IV
  • Autre forme de la cote :
    • Paris. Bibliothèque nationale de France, Département des manuscrits, Latin 15325
    • Paris. BnF, Latin 15325
  • Conservé à : Paris. Bibliothèque nationale de France, Département des manuscrits
  • Langues : latin
  • Auteur : Pierre Lombard (1095?-1160?)
  • Date de fabrication :
  • Lieu de fabrication :
  • Écriture :
    • Une seule main, 2 col. de 38 /40 l
  • Décoration :
    • Deux mains ont décoré le ms, l’une, chargée des initiales historiées, l’autre chargée des initiales ornées. Initiales historiées (f. 4vb, 79ra, 137rb, 180rb) sur 8, 7 ou 6 l. représentant, au début de chacun des quatre livres, l’Église et la Synagogue, la création de l’homme et de la femme, l’Annonciation, le Christ en bon Samaritain ; initiales ornées à entrelacs (f. 2ra, 4ra, 76va, 136ra, 178va) sur 4 ou 3 l. ; initiales filigranées (sur 3 l. pour le début des distinctions, sur 2 l. pour le début des capitula ) alternativement rouges à filigrane bleu et bleues à filigrane rouge, dotées parfois de bandes d’i justifiant le texte ; lettres d’attente ; rubriques dans le texte (capitula et subdivisions du texte) ou en marge (auctoritates) ; distinctions en marge à l’encre rouge et bleue (et à l’encre noire à l’extrême bord de la marge) ; Table des capitula : sur deux col. ; initiales alternativement rouges et bleues (sauf pour le L. II, initiales à l’encre noire agrémentées d’un trait rouge) ; lettres d’attente à l’intérieur des initiales (sauf pour le L. II) ; capitula des L. I et III, IV copiés sans solution de continuité entre l’intitulé de chaque capitulum ; copie en solution de continuité entre l’intitulé de chaque capitulum pour le L. II. Titres courants à l’encre rouge et bleue
  • Support : Parchemin, piqûres apparentes
  • Composition :
    • 247 f. précédés et suivis d’un f. papier ; les f. 1 et 247 sont des feuillets de garde
  • Dimensions :
    • 368 x 237 mm (just. 230 x 147 mm ); marge sup. = 47 mm ; marge ext. = 68 mm ; marge int. = 34 mm ; marge inf. = 107 mm ; entrecolonne = 11 mm
  • Aspects codicologiques :
    • Foliotation moderne. Cahiers : 1 12 (2-13) ; 2 12 (14-25) ; 3 12 (26-37) ; 4 12 (38-49) ; 5 12 (50-61) ; 6 12 (62-73) ; 7 12 (74-85) ; 8 12 (86-97) ; 9 12 (98-109) ; 10 12 (110-121) ; 11 12 (122-133) ; 12 12 (134-145) ; 13 12 (146-157) ; 14 12 (158-169) ; 15 12 (170-181) ; 16 12 (182-193) ; 17 12 (194-205) ; 18 12 (206-217) ; 19 12 (218-229) ; 20 12 (230-241) ; 21 5 (242-246), cahier probablement constitué à l’origine de 6 feuillets, lors de la reliure du XVIIe s., le 6e feuillet a été coupé et le f. 246 a été mal relié. Réclames en fin de chaque cahier (sauf cahier 21) ; système de signature situé dans l’angle inférieur droit des 6 premiers feuillets combinant la plupart du temps lettres et chiffres ou lettres et traits : pour les cahiers 1 et 2, lettre ‘a’ à l’encre bleue surmontée -cahier 1- ou surmontant -cahier 2- des chiffres romains (I à VI) (ex. f. 4, 7 pour le cahier 1 ; ex. f. 17, 19 pour le cahier 2) ; cahier 3, lettres (‘a’ à ‘f’) à l’encre rouge (ex. f. 20) ; le cahier 5 est doté de chiffres arabes, à l’encre noire, situés à l’extrême bord des 6 premiers feuillets (ex. f. 52) ; pour les cahiers 6 et 7 combinaison de lettres (‘a’ à ‘f’) et de traits, à la mine de plomb : cahier 6 un trait vertical précède la lettre (ex. f. 66), cahier 7, un trait horizontal souligne la lettre (ex. f. 78) ; pour les cahiers 8 à 12, à l’encre bleue, reprise du système de la lettre unique (‘a’ pour les cahiers 8 et 9, ‘b’ pour les cahiers 10, 11, 12) accompagnée de chiffres romains dont la situation par rapport à la lettre varie (ex. cahier 8, f. 91 ; cahier 9, f. 101 ; cahier 10, f. 114 ; cahier 11, f. 125 ; cahier 12, f. 136 ; les cahiers 13 à 18 sont dotés de lettres (‘a’ à ‘f’) (cahier 13, 15, 18 lettres seules ex. f. 151, f. 175,f. 206 ; cahier 16 lettres surmontées d’une croix ex. f. 184). Le système de signature n’est plusvisible aux cahiers 4, 14, 17, 19-21. Enfin, il convient de remarquer que certains cahiers sont dotés d’un double système de signature (cahier 15 et 18) : pour le cahier 15, système de lettres (‘a’ à ‘f’) l’un à l’encre rouge, erroné, l’autre à la mine de plomb (ex. f. 172), pour le cahier 18, système de lettres, à l’encre bleue (‘a’ à ‘f’) doublé d’une numérotation des feuillets en chiffres arabes, à l’encre noire (ex. f. 208)
    • Paris . . . , 247 f. précédés et suivis d’un f. papier ; les f. 1 et 247 sont des feuillets de garde , 368 x 237 mm (just. 230 x 147 mm ); marge sup. = 47 mm ; marge ext. = 68 mm ; marge int. = 34 mm ; marge inf. = 107 mm ; entrecolonne = 11 mm .
  • Réglure :
    • Réglure à la mine de plomb
  • Reliure :
    • Reliure en parchemin vert avec titre doré au dos sur pièce de maroquin rouge « P. Lombard /Sententiar / Libri »

Présentation du contenu

Source des données : BnF Archives et manuscrits

  • F. 2ra-246vb. [PETRUS LOMBARDUS Sententiarum libri IV] (P. L., CXCII, 561-962 et BRADY, 1971 et 1981). L. I : [ Capitula ] « Omnis doctrina est de rebus vel de signis… – … Utrum passiones sanctorum debeamus velle » (2ra- 4ra) ; « … Prologus in primo libro Sententiarum ( rubr. ) ». « Cupientes [super proficere et addiscere super intendimus add. interl. ] aliquid de penuria [respectu substencie exterioris add. interl. ] ac tenuitate [respectu substencie interioris scilicet eloquencie et sciencie add. interl. ]… – … librorum capitula distinguuntur premisimus » ( éd. cit ., 3-4) (4ra-4vb) ; « … Liber primus Sententiarum ( rubr. ) ». « Veteris [que precessit tempore add. interl. ] ac nove [que sequitur origine add. interl. ] legis continentiam [sic] [habent enim se sicut corpus et anima, sicut litera et spiritus] diligendi… – … voluerunt quem Deus non voluit ». « Explicit primus Liber de misterio Trinitatis ( rubr. ) » ( éd. cit. , 55-328) (4vb-76vb). – L. II : [ Prologus ] « … Secundus de rerum creatione et formatione corporalium et spiritualium et aliis pluribus eis pertinentibus ( rubr. ) ». « Que ad misterium divine Trinitatis… – … nunc ad considerationem creaturarum transeamus » ( éd. cit. , 327) (76va) ; [ Capitula , copiés sans solution de continuité avec le Prologus ] « Quod unum est principium rerum non plura... – … aliquando resistendum sit potestati ». « Expliciunt capitula ( rubr. ) » (76va-79ra) ; « Unum rerum principium ostendit non plura ut quidam putaverunt. Incipit secundus Liber de rerum creatione et formatione corporalium et spiritualium et aliis pluribus eis pertinentibus ( rubr. ) ». « Creationem rerum insinuans Scriptura [Gen. I add. interl. ] Deum esse… – … aliquid fari Deo revelante valeamus ». « Explicit Liber secundus (rubr.) » ( éd. cit. , 327-580) (79ra-136ra) . – L. III : « … capitula Libri tercii ( rubr. ) ». « Quare Filius carnem assumpsit non Pater… – … De legis et evangelii distancia » (136ra-137rb) ; [ Prologus , copié à la suite des capitula ] « Hujus voluminis continencia sub compendio perstringitur ( rubr. ) ». « Hic enim rationis ordo postulat... – … gratia ad miserum accedat » ( éd. cit. , 23) (137rb) ; « … Liber tercius de incarnatione Verbi ( rubr. ) ». « Cum [vel ubi add. interl.] venit igitur plenitudo [tangit Apostolus quatuor causas incarnationis add. interl. ] temporis… – … sunt ut vitiorum fere occidantur [figura pulcra I Re. .XVI. et .XVII. c. quomodo dicendum ursum et leonem interfecit add. interl. ] ». « Explicit tercius Liber ( rubr. ) » ( éd. cit ., 23-229) (137rb-178va) . – L. IV, erreur de reliure au f. 241v, il faut alors lire f. 241v, 246, 242, 243 etc. : « … Capitula quarti Libri ( rubr. ) ». « De sacramentis. Quid sit sacramentum… – … ut augeat gloriam bonorum » (178va-180rb) ; [ Prologus , copié sans solution de continuité avec les capitula ] « His tractatis que ad doctrinam rerum pertinent… – … ad doctrinam signorum accedamus [scilicet in quarto libro add. interl. ] » ( éd. cit. , 231) (180rb) ; « De sacramentis ubi quatuor prius consideranda sunt. Incipit quartus Liber ( rubr. ) ». « Samaritanus [Lu. X. f. add. interl. ] vulnerato appropiquans… – … ad pedes [usque corr. interl. ] via duce pervenit ». « Explicit Liber Sentenciarum » ( éd. cit. , 231-560) (180rb-245ra).

Intervenant

Ancien possesseur

Anciennement dans

Historique de la conservation

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  • Collège de Sorbonne Ex-libris de la Sorbonne suivi de l’estimation (f. 1) : « Iste liber Sententiarum est pauperum magistrorum domus de Sorbonis in theologia studencium ex legato magistri Radulphi de Castro Radulphi precii X librarum anno Domini M° CC° LXXX° VI° in adventu Domini » puis de la cote du catalogue de 1338 « XXII » L’estimation du manuscrit est répétée plusieurs fois f. 1 (une fois d’une écriture cursive, une autre par la main de celui qui a rédigé l’ex-libris). Ex-libris de la Sorbonne, indiquant le nom du donateur et la date du legs, suivi de l’estimation, répété avec quelques variantes, par une autre main (ressemblant à la cursive du f. 1) : « Liber iste est pauperum magistrorum collegii de Sorbona ex legato magistri Radulphi de Castro Radulphi facto anno Domini millesimo CC° VI; precii decem librarum » (f. 2, 3v, 245v). (XVe s). On trouve un dernier ex libris du collège, plus bref, rédigé par une main cursive (même main que f. 1) : « Liber iste est pauperum magistrorum de Sorbona, precii .X. libr. » (f. 245)Cf. catalogue de 1338, N.a.l. 99 « Sentencie 22 », [p. 63] : « 22. Sentencie ex legato Radulphi de Castro incipit in secundo folio dicuntur [f. 3ra] in penultimo hic queri [f. 244ra]. Precium decem libr. ».
    Légué au collège de Sorbonne par Raoul de Châteauroux, pendant l’Avent de 1286 avec un autre ms, le lat. 16 403 (PETRUS COMESTOR, Historia scolastica ). Cf. Glorieux, Aux origines , I, p. 324 ; Delisle, Cab. des mss. , II, p. 170. Raoul de Châteauroux est le reportateur des mss lat. 16481 et lat. 16482, recueils de sermons passés à Pierre de Limoges, lui aussi important donateur du collège. Cf. Bériou, N., L’avènement des maîtres de la Parole. La prédication à Paris au XIIIe s , vol. I, Paris, 1998, p. 86-87.
    Emprunteurs : Ce manuscrit semble avoir été destiné au cours du XIVe -XVe s. aux étudiants chargés d’exercer, à l’intérieur du collège, la lecture des Sentences . Cette hypothèse est étayée par une mention, figurant au f. 1, (deuxième moitié du XIVe s.) réservant ce manuscrit au lecteur du collège (cf. La vie universitaire parisienne au XIIIe siècle, Catalogue de l’exposition, Paris, 1974, p. 58) : « Textus Sententiarum ad usum lectoris Sententiarum in collegio Sorbone deputatus ». Ceci est confirmé par le nombre d’emprunts figurant dans Le registre de prêt … p. 710. Trente-sept sorbonnistes au moins ont eu ce manuscrit entre les mains au cours du XVe s. : Petrus de Nogento (avant 1404) ; Judocus de Liza (1423) ; Andreas Gareti (1420) ; Johannes Riviere (1432) ; Johannes Germani (1427) ; Petrus Benin (1425) ; Johannes Vedriere (1450) ; Matheus Andree (1434) ; Guilelmus de Parisius (1436) ; Johannes de Castellione (1435) ; Johannes de Pratis (1435) ; Petrus Corii (1439) ; Ursinus Tibout (1444) ; Johannes Luilier (1446) ; Johannes de Haillys (1449) ; Derianus Petri ?? (1506 ??) ; Stephanus Gondeau (1452) ; Lucas de Molendinis (1460) ; Jacobus Britonis (1456) ; Johannes de Eecoute (1457) ; Johannes Benedicti (1461) ; Guilelmus Ficheti (1462) ; Michael Parvi (1463) ; Henricus de Quesneyo (1465) ; Petrus Scissoris (1468) ; Johannes de Lapide (1467) ; Jacobus Bacler (1469) ; Nicolaus de la Hermant (1475) ; Johannes Scriptoris (1474) ; Johannes Cordier (1479) ; Dionisius Burgensis (1476) ; Petrus Volelli (1478) ; Johannes Laillier (1480) ; Johannes Mathie (1481) ; Egidius Delph (1484) ; Gilbertus Fornier (1484) ; Thomas Faverel (1502). On retrouve les noms de certains d’entre eux et la date à laquelle ils ont rempli cet office (f. 1, 245v, 247) :« Iste est liber Sententiarum Johanni Hally » (f. 1)« Johannes Mathie legit 1482 pro una parte et [14]83 pro alia » (f. 247)« Johannes Scriptoris LXXIII° legit sententias ex isto libro » (f. 247)D’autres emprunteurs ne figurant pas dans le registre de prêt ont parfois inscrit leur nom : « Nicholaus Quoquerel » (f. 1, attesté comme bachelier en théologie à partir de 1426, voir CUP IV, n°2294, p. 485 et n°2419 n.1) ; « Hanibalaque (?) » (f. 245v). Prix : « … precium X libr. … » (f. 1, f. 2, f. 3v, f. 245, f. 245v).
    Ancienne cote : Cote de 1338 : « XXII » (f. 1) ; cote XVIIe s. : « 170 » (f. 1) ; cote XVIIIe s. « 539 » (contreplat supérieur) accompagnée de la mention : « Ce ms du 13e siècle a été légué à la maison de Sorbonne par M. Radulphe de Chasteau radolphe en […]. Les quatre Livres du maitre des Sentences ».
    Annotations : Plusieurs mains (trois principales)
    a) Glose contemporaine à la copie, vraisemblablement réalisée avant que le manuscrit ne soit relié. Très soignée, elle s’appuie sur une réglure, constituée de phrases courtes et claires ponctuées par des pied-de-mouches. Cette glose, qui couvre l’ensemble du manuscrit, est à la fois interlinéaire et marginale : c’est la taille du commentaire et non la nature de l’explication développée qui justifie la situation de la glose par rapport au texte. Glose complexe alliant une divisio textus , extrêmement fine (présentant non seulement le contenu de chaque livre mais celui de chaque distinction, et leur structure interne), à une sorte d’apparat critique (identification de sources de Pierre Lombard). Elle recourt parfois à des distinctiones éclairant la structure de la démonstration du Maître. Cette glose insiste aussi sur l’étymologie de certains termes employés par le Maître et, à partir de ces mêmes termes, développe une réflexion spéculative : par exemple
    - f. 4ra, colonne interne, étymologie du terme gazophilacium : « Gazophilacium est locus in quo pecunia ad servendum ponitur et dicitur a gaza quod est in lingua persica pecunia et philasse quod est servare… » ;
    - f. 4ra, marge, inférieure, divisio textus du L. I : « Cupientes etc. Liber iste dividitur in tres partes. Primo magister premittit prologum. Secundo exsequitur suum intentum. Tercio recapitulat. Secunda ibi : veteris. Tertia in fine quarti : hec de pedibus sedentis etc. … »
    - f. 79ra, marge inférieure, apparat critique suivi d’un développement sur la création du monde : « Creationem etc. : verba ista sunt Strabi super principium Genesis. Et sunt in originali. Insinuans : scilicet non expresse. Initiumque temporis : Notandum quod Anaxagor et Empedoclus posuerunt tempus precedere motum sed differenter : Anaxagor posuit tempus infinitum precedere motum ; Empedoclus autem posuit tempus finitum precedere motum. Econtra Plato posuit motum ante tempus. Et sic isti ponunt motum et tempus esse facta. Et unum etiam ante aliud esse factum. Et contra haec procedunt demonstrationes Aristotelis… »
    - f. 180va, marge inférieure, distinctio sur la définition et la nature du sacrement : « quid sit sacramentum ; quid signum ; quomodo differant » ; « signum : naturale ; datum » ; « datum : quoddam est sacramentum, quoddam non »
    b) Main de la seconde moitié du XIVe s. voire de la fin du XIVe s. Assez posée, elle s’efforce d’imiter le copiste et se situe fréquemment dans la marge inférieure (voir f. 122v, f. 123 etc.). La plupart de ses interventions consistent en un enrichissement de la divisio textus primitive (voir par exemple f. 41, marge interne ou f. 61).
    c) Main du XVe s. (première moitié). Les annotations consistent en une numérotation de parties du texte des Sentences (les conclusiones ). Dans l’entrecolonne et dans les marges latérales figure donc une numérotation suivie de l’abbréviation conclusio . Cette numérotation joue le rôle d’appel de note et renvoie au texte de la conclusio (sorte de résumé) qui donne une analyse relativement précise du contenu du texte des Sentences . Les conclusiones figurent fréquemment dans la marge supérieure du ms. (voir par exemple f. 137, 138 etc.) ; on le trouve aussi dans les marges latérales. La pratique des conclusiones n’est pas le fait d’un seul annotateur, la main précédente (fin XIVe s.) est responsable de certains de ces résumés (voir par exemple f. 146). On trouve des interventions beaucoup plus ponctuelles (voir f. 4, f. 4v, f. 20, f. 26v, f. 58, f. 88, f. 111, f. 148 ?, f. 244) de plusieurs autres mains, dans la plupart des cas datant du XVe s.

Notes

Source des données : BnF Archives et manuscrits

  • Estampilles de la bibliothèque de la Sorbonne : f. 2, f. 125, f. 245v ; Estampilles de la Bibliothèque nationale correspondant aux années 1792-1802 (cf. Josserand-Bruno, 277 type 17) : f. 2, f. 245v

Vie du livre

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